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Affaire Julia Simon: les soeurs Chevalier, Lou Jeanmonnot et Caroline Colombo auraient aussi observé des disparitions suspectes d'argent liquide et d'effets personnels: https://biathlonlive.com/divers/les-soe … lia-simon/
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Affaire Julia Simon: les soeurs Chevalier, Lou Jeanmonnot et Caroline Colombo auraient aussi observé des disparitions suspectes d'argent liquide et d'effets personnels: https://biathlonlive.com/divers/les-soe … lia-simon/
Entre autres. Après, ceux qui ne se sont pas exprimés sur le sujet ont leurs raisons. Mais, il manque beaucoup de témoignages, rien qu'en EDF. BRef, tout le monde sait désormais. Ca doit être un soulagement pour la coupable, les victimes et les responsables qui vont pouvoir agir.
Et puis, on va pouvoir s'attaquer aux autres hallucinations de l'équipe...
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ceux qui ne se sont pas exprimés sur le sujet ont leurs raisons.
C'est à dire?
Et puis, on va pouvoir s'attaquer aux autres hallucinations de l'équipe...
C'est à dire?
Tu en dis trop ou pas assez, camarade.
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Dominatrice sur la piste, Ingrid Tandrevold s’impose sur la mass-start malgré deux erreurs. À 20/20, sa compatriote Ragnhild Femsteinevik fait un pas vers la coupe du monde en prenant la deuxième place. L’Italienne Dorothea Wierer complète le podium.
Dernière modification par ilcanzese (16-11-2025 15:35:28)
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J'ai pu voir la mass start (60) masculine, Éric annonce effectivement la couleur. 
Tickets à décrocher ou pas, cette première mass start 60 depuis des années (et une course d'IBU Cup remportée par Stefanie Scherer) en ce qui me concerne confirme que ce système n'est vraiment pas fantastique, pour ne pas dire autre chose...
Dernière modification par Abyss (16-11-2025 16:20:25)
Since 2014-2015. 
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LEs norvégiens font des MS avec départ décalé. C'est encore différent. J'avoue qu'en bord de piste, j'ai été un peu surpris de voir partir une deuxième course quelques minuytes après la première. Et c'était vraiment le bordel ensuite. ?
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C'est la première course que je regarde et j'ai cru à un bug lorsque j'ai vu partir le deuxième groupe. Après, on ne les a plus vus...
Très loin niveau ambiance et réalisation d'une étape de coupe du monde.
Mais un petit hors d’œuvre appréciable pour un dimanche où on n'a pas envie de sortir.
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À 30 ans, le fils de la légende Ricco Gross (quatre fois champion olympique, neuf fois champion du monde) tourne la page pour endosser le survêtement d’entraîneur.
Et pas n’importe où : chez les Helvètes, où l’attend déjà sa femme, Lena Haecki-Gross, la numéro 1 Suisse depuis des années.
« Depuis qu’on est ensemble, c’est la première fois qu’on pourra passer un hiver entier au même endroit, sur les mêmes courses, dans le même bus », sourit Marco, visiblement soulagé.
« Fini les allers-retours Allemagne-Suisse et les week-ends volés entre deux étapes. »
L’histoire a commencé discrètement l’hiver dernier
Marco Gross, alors encore biathlète, accompagne à plusieurs reprises l’équipe suisse en tant que sparring-partner et offre une aide ponctuelle.
Sandra Flunger, l’entraîneuse-chef, remarque vite le sérieux et le regard aiguisé du jeune Allemand. Dès le printemps, les discussions deviennent sérieuses.
Résultat, il devient désormais l’entraîneur de Jérémy Finello et du jeune James Pacal, entre autres.
Une carrière discrète
Côté piste, Marco Gross n’a jamais réussi à marcher dans les traces de son père.
Un titre de champion d’Allemagne sprint en 2021, un unique départ en Coupe du monde (65e à Antholz), puis une dernière saison frustrante en IBU Cup bouclée à la 19e place.
Il avait fini par pointer du doigt la fédération allemande et sa politique « jeunes à tout prix » qui, selon lui, l’avait laissé sur le carreau.
Aujourd’hui, il tourne la page sans amertume. « J’ai fait le tour. Maintenant, je veux transmettre ce que j’ai appris, et surtout vivre enfin une vie de couple normale en hiver », confie-t-il.
(C) ski nordique
Dernière modification par ilcanzese (20-11-2025 17:06:35)
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Johanna Puff a la dérive 
Sacrée double championne d’Europe la saison dernière, Johanna Puff est passée complètement à côté des épreuves de sélections Allemandes organisées samedi et dimanche.
Et pire encore : elle ne figure même pas dans l’équipe retenue pour la Coupe IBU, la « deuxième division » qui sert habituellement de tremplin.
Peu après l’annonce officielle, la Bavaroise a pris la parole sur Instagram, le cœur à vif :
« Je ne sais pas quoi dire. Cette année a été un véritable désastre.
J’ai tout donné, j’ai vraiment fait de mon mieux, mais malheureusement ce n’est pas toujours suffisant. »
Des mots crus, sans filtre, qui trahissent une immense frustration.
Habituée à rebondir via l’IBU Cup pour ensuite intégrer l’élite mondiale, Puff se retrouve aujourd’hui dans une situation inédite :
elle devra cette fois passer par les épreuves nationales d’abord se battre pour réintégrer… l’antichambre de la Coupe du monde.
Une sanction forte pour cette biathlète qui avait goûté l'an passé aux joies du grand circuit.
(C).ski-nordique.net/
Dernière modification par ilcanzese (25-11-2025 12:22:16)
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