Vous n'êtes pas identifié(e).
c'est classement que donne une bonne image de la France au féminin, de sa force même avec des ratés elle sont première............ parce que les autres nations ont aussi des ratés mais on les regardé avec un autre regard .......... la Norvège sans le duo "galactique" serais bien loin dans le classement
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La règle est plutôt bien expliquée sur cette page du site ukrainien qui tient à jour l'évolution du classement de la Coupe des Nations.
On sait aussi le nombre de points que chaque athlète a apporté à son équipe. Quelqu'un ici, Antho je crois, avait démontré qu'il ne fallait pas prendre pour argent comptant le "score" de chaque athlète pour en déduire son importance.
Pour preuve cette année : Julia, deux victoires et seulement quatrième contributrice, Tiril, seulement deuxième pour la Norvège de même qu'Hauser pour l'Autriche. Je n'ai pas tout détaillé...
Pour en revenir aux courses du jour, les deux vainqueurs finissent détachés, mais il y a quand même eu de la lutte et du suspense et quelle belle démonstration d’Émilien !
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a surveiller le jeune Jake Brown ............ 12° dans le sprint
Puis 25e sur la poursuite. C'était la grosse performance inattendue du sprint H. Jusque là, en 42 courses en CdM, il n'avait marqué des points qu'à deux reprises (places de 30e et 40e). Mais il n'est plus tout jeune (28 ans).
il est bien parti pour se qualifier pour le départ en masse. À suivre !
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Le débat sur le classement des nations.
La coupe des nations c'est un peu comme le classement par équipes en cyclisme sur les grands tours qui fonctionne sur le même principe (les résultats pris en compte jour après jour sont ceux des trois mieux classés de l'équipe). Ça révèle donc le niveau global d'une équipe et sa force collective. À ne pas confondre avec les forces individuelles.
L'équipe féminine française a sans aucun doute un excellent niveau, même sans avoir (dans l'instant) des individualités suffisamment expérimentées au sommet de leur forme et de leur carrière comme Eckhoff ou Marte OR qui peuvent "faire" le général. C'est en fait là le seul "reproche" à faire à l'edF, car mine de rien nos filles sont presque toutes capables (à tour de rôle) d'obtenir des gros résultats et des podiums, et en relais sur le papier elles visent (au moins) le podium à chaque départ sans problème.
Ne nous enflammons pas non plus, certes la France est en tête du classement des nations, mais les quatre premières se tiennent en 60 points (alors que la cinquième pointe à près de 500 points). Autant dire qu'il y a égalité entre France, Norvège, Suède et Allemagne. On fera le bilan en fin de saison (surtout qu'il y a aura retrait de scores, ce qui peut créer des surprises).
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pour Lisa Vittozzi record négatif avec 10 erreurs aux tirs, le pire résultat en CDM
Elle avait bien débuté ces mondiaux avec un excellent relais mixte (meilleur temps de sa manche) puis confirmé par une belle 5e place sur le sprint. Elle était bien partie pour obtenir son ticket pour la mass-start, mais là après une telle déroute, rien n'est moins sûr...
Souvenons nous, l'an passé aux mondiaux d'Antholz elle avait déjà reculé sur la poursuite (27e, 3 f.) après la médaille d'argent du relais mixte et la 6e place du sprint. Elle avait ensuite complètement dévissé au tir sur l'individuel (8 fautes, 71e)) et la mass-start (9 fautes, dernière), réalisant entre temps un relais quasi-parfait (10/11 au tir, passage en tête)...
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Du coté de la Norvège, Lien a été préférée à Knotten pour l’individuelle de demain. Un signe pour le relais ?
On ne nait pas Breton, on le devient, à l’écoute du vent, du chant des branches, du chant des hommes et de la mer (X. Grall)
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Du coté de la Norvège, Lien a été préférée à Knotten pour l’individuelle de demain. Un signe pour le relais ?
En tout cas, l'absence de Knotten assure presque la 15ème place de Justine au général pour la mass start.
Seules Karoline Knotten et Anais Bescond peuvent mathématiquement passer devant Justine (15ème actuellement). Pour Anais (307pts), il lui faudrait une victoire et que Justine ne marque aucun point, scénario assez peu probable.
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ilcanzese a écrit :il suffit de regarder ce classement pour comprendre que tu a tort
https://i60.servimg.com/u/f60/18/00/96/45/uiyp10.jpg
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certes que Julia doit stabiliser son tir et Justine doit être "naturelle" et ne pas essayer de se faire des romans a chaque tir .........parce que , surtout pour Justine, les année ses suivent et les progrès ont du mal a se concrétiserJe ne prête guère d'attention à un classement au comptage et au système aussi douteux (pourquoi ne pas prendre en compte TOUTES les courses + les relais ? Et pourquoi ne pas utiliser le même barème que sur les courses individuelles ? Sans parler du fait que tous les biathlètes comptent et pas seulement le meilleur classé par exemple, car dans le cas d'une course au Top 10 composé par 5 Français(es), 4 Norvégien(ne)s et 1 Allemand(e), y a une infériorité numérique et un désavantage évidents pour l'Allemagne, peu importe que son athlète soit devant tout le monde ou non) mais vu qu'apparemment, c'est un truc à prendre au sérieux, je propose qu'on en reparle au soir de la dernière course.
Gné ? Ca prend en compte les relais, et pas toutes les courses de manière assez logique pour plusieurs raison ... La poursuite est déjà assez inique de base pour ne pas en plus faire reposer un classement des nations dessus, quant à la mass-start la réponse semble toute trouvée. Et c'est un classement qui sert à toutes les équipes, notamment pour les quotas, évidemment qu'il faut un autre barème que celui utilisé pour le général individuel.
De toute manière ton avis est totalement arrêté sur l'EDF féminine, mais encore une fois : la Norvège que tu prends en exemple est portée par sa doublette qui comble un gros manque global. Cette même paire Roeiseland-Eckhoff devrait pourtant t'amener à nuancer un peu ta position sur l'EDF, Eckhoff ayant été l'exemple même de l'inconstance pendant près d'une décennie (deux 3èmes places à l'âge actuel de Julia et Justine contre dix et six podiums dont 2 et 3 victoires), quant à Roeiseland c'était 0 podium avant 25 ans.
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Chez les hommes norvégiens : pas de surprise, les 4 premiers du général participeront à l'individuelle.
Christiansen n'a pas sa place encore assurée dans le top 15 du général, Eder ou Loginov peuvent le dépasser...
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Ne nous enflammons pas non plus, certes la France est en tête du classement des nations, mais les quatre premières se tiennent en 60 points (alors que la cinquième pointe à près de 500 points). Autant dire qu'il y a égalité entre France, Norvège, Suède et Allemagne. On fera le bilan en fin de saison (surtout qu'il y a aura retrait de scores, ce qui peut créer des surprises).
Sur le classement nations, on est bien d'accord que la place brute ne reflète pas une réalité objective mais plutôt une tendance. Être 2ème ne veut pas dire être moins fort que le 1er ou plus fort que le 3ème mais plutôt qu'on fait partie des meilleures forces collectives (force collective que l'on peut voir composer de différentes manières d'ailleurs : les Norges filles par exemple qui ont plutôt un mode 2 stratosphériques + 1 désert derrière ou les Françaises plutôt en mode 4 filles qui apportent leur forte contribution à tour de rôle + 2 autres qui apportent de temps en temps les points de la 3ème).
De toute manière, lorsqu'on regarde ce classement nations, on ne remarque guère d'absurdité. Les nations qui gagnent régulièrement sont tout devant, celles qui ont un effectif moyen mais avec un biathlète top niveau (type Lisa Theresa pour l'Autriche, Fak pour la Slovénie ces dernières années ou encore Kuzmina pour les Slovaques) se maintiennent 7-12ème et celles dont les athlètes galèrent à marquer des points individuels se retrouvent au fond du classement.
Après j'imagine qu'en fin de saison, ramener le breloque de la 1ère place fait toujours plaisir à l'ensemble de l'équipe car cela démontre un travail collectif très bien fait.
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Antonin Guigonnat en GRANDE forme : Aucun regret après ma poursuite. Heureux de produire mon meilleur niveau de ski depuis un bon moment sur ces championnats! Au point d’ajouter 900m au parcours initialement prévu. Quand je vous dis que je marche au plaisir! En décembre je faisais 20/20 par flemme.
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Donc si j'ai bien compris ce que dit l'IBU, on va enlever le plus mauvais résultat aux individuelles et aux mass start ? 3 au sprint et 2 en poursuite ?
https://twitter.com/biathlonworld/statu … 7290940416
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De toute manière ton avis est totalement arrêté sur l'EDF féminine, mais encore une fois : la Norvège que tu prends en exemple est portée par sa doublette qui comble un gros manque global. Cette même paire Roeiseland-Eckhoff devrait pourtant t'amener à nuancer un peu ta position sur l'EDF, Eckhoff ayant été l'exemple même de l'inconstance pendant près d'une décennie (deux 3èmes places à l'âge actuel de Julia et Justine contre dix et six podiums dont 2 et 3 victoires), quant à Roeiseland c'était 0 podium avant 25 ans.
Justement, Julia et Justine ont le potentiel d'être ce qu'on pourrait considérer comme des petites prodiges, faire les belles heures de notre équipe comme le font Tiril et Marte pour la Norvège (j'imagine facilement Julia comme notre Eckhoff et Justine comme notre Røiseland), mais elles font absolument n'importe quoi. Le 15/20 d'hier, on est censé en être contents et en tirer des enseignements ?
D'ailleurs, j'érige Anaïs C en modèle, mais il y a des petites choses à revoir aussi. Après, elle revient après une saison d'absence, donc pour ma part, sa saison est vraiment réussie.
Je n'irais pas jusqu'à dire que le « duel » pour le gros globe devrait diviser la France en deux camps, mais le Top 10 du général réclame sa Braisaz-Bouchet et sa Simon. Il a sa Chevalier-Bouchet, mais ce n'est pas assez pour le rassasier.
(Et encore, Top 10, je suis gentil pour les autres)
Comme ça a été dit précédemment, on ne devrait pas se poser la question de savoir si une Française va faire un podium mais plutôt de savoir quelle marche de ce podium elle va occuper à l'arrivée. Je crois en l'existence d'un univers parallèle où, depuis des années, le nombre de courses sans podium d'une Française est égal à celui de courses avec podium tricolore de l'univers dans lequel nous sommes.
Dernière modification par Abyss (15-02-2021 16:40:20)
Since 2014-2015.
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[...]
Comme ça a été dit précédemment, on ne devrait pas se poser la question de savoir si une Française va faire un podium mais plutôt de savoir quelle marche de ce podium elle va occuper à l'arrivée. Je crois en l'existence d'un univers parallèle où, depuis des années, le nombre de courses sans podium d'une Française est égal à celui de courses avec podium tricolore de l'univers dans lequel nous sommes.
Eckhoff, Roeiseland, Oeberg x2, Wierer, Hauser, Alimbekava, Dzhima, Davidova, Hermann, Preuss, Skottheim....
Çà fait déjà pas mal de raisons de ne pas voir systématiquement une française sur le podium, non ?
Edit : et sans parler de l'anomalie russe qui n'arrive pas à produire de podiumable régulière malgré un réservoir fourni + les Vitozzi, Fialkova, Eder, Puskarcikova, Tandrevold, etc... dont le niveau cette saison n'est pas conforme aux attendus.
Dernière modification par Antho (15-02-2021 17:06:58)
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Les deux courses à venir ont un double enjeu :
- titre de champion(ne) du monde et gain du petit globe de l'individuel.
Règle spéciale covid-19 décidée en début de saison oblige, seuls les deux meilleurs résultats sur les trois individuels organisés seront retenus.
Chez les gars, Loginov est le seul qui peut priver Laegreid (qui a déjà en poche presque le maximum de points possibles, 114/120) de petit globe :
Loginov a même la possibilité de faire coup double. Si il est sacré champion du monde, le petit globe est pour lui !
Si le "RBUsse" ne gagne pas, ce dernier doit faire deuxième avec Laegreid au delà du top 10 pour avoir le petit globe. Si Loginov est deuxième et le Norvégien 10e, y aura égalité et globe partagé.
Dans tous les autres cas de figure, peu importe les résultats, le général de l'individuel sera pour Laegreid.
Chez les filles il reste mathématiquement 7 prétendantes, et dans la plupart des cas, le gain du globe va de pair avec un titre de championne du monde (sinon c'est le dossard rouge Wierer qui tient la corde avec ses 103 points assurés sur 120 de possible).
Première ligne : Wierer et Hauser, qui ont gagné chacune un individuel. Elles ont leur destin entre leurs mains : si l'une ou l'autre est sacrée championne du monde, elle remportera également le petit globe.
Seconde ligne : les deux qui comptent une deuxième place (Djima et Herrmann) ont également de grandes chances de gagner le petit globe en cas de titre de championne du monde de la spécialité (il suffit que Wierer et Hauser ne terminent pas à la 2e place).
Troisième ligne : Anaïs Chevalier-Bouchet et Johanna Skottheim (une troisième place), si l'une d'elles est championne du monde et que le tandem Wierer-Hauser n'est pas sur le podium.
La grosse cote : Elvira Öberg. Si elle est championne du monde, il faut que Wierer ne fasse pas mieux que 50e, mais aussi que Hauser ne soit pas sur le podium, que Herrmann et Djima fassent moins bien que 2e…
Note : Le troisième résultat (=effacé) semble être pris en compte pour le départage en cas d'égalité de points.
Dernière modification par m_9er (15-02-2021 19:35:12)
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